Karrig An Ankou
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 Comptes & récits du monde des douze.

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Enchanteuse

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Date d'inscription : 19/03/2013

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MessageSujet: Comptes & récits du monde des douze.   Comptes & récits du monde des douze. Icon_minitimeMar 9 Avr - 21:03

*Contrée d’astrub, an 643*

Un vieil homme se tiens assis a son bureau, placé dans l’endroit le plus lumineux de la bâtisse. Un porte-plume et un encrier attendent leur utilisation dans l’un de ses coins. Un gros livre vierge trône sur le bureau et attend sagement la caresse d’une plume, des mains anxieuses s’agitent au dessus de lui. Un grognement d’une personne emprise avec un fort stress se fait entendre. La silhouette s’agite et se tiens désormais la tête entre ses mains. Soudain elle rompt le silence, tout en s’emparant de la plume jusque lors immobile dans l’encrier.

- Bon… Par quoi pourrais-je commencer… Ah oui tiens je pense savoir comment commencer cette histoire.

D’un geste délicat il posa la pointe de la plume sur le papier et sa main entama une légère rotation. Elle eu pour effet de laisser un demi cercle d’encre qui annoncé déjà la première lettre du titre serait un C. Les autres lettres se firent plus petites. Tout Amakna avait depuis toujours eu l’habitude d’avoir une écriture très calligraphiée, ceux qui en faisait depuis longtemps la capitale des arts littéraire, mais aussi de l’art tout particulièrement complexe de l’enluminure. On pouvait désormais lire distinctement le titre de ce qui s’emblait être les prémices d’un récit intitulé :

Comptes & récits du monde des douze.

Cher enfant,

Aujourd’hui plus que jamais je me dois de te transmettre ceci, tu trouverais dans ce livre le récit de mes nombreuses aventures, et aussi quelques détails de ma personne que ne connais surement pas. Je ne peux laisser ces récits tombé dans l’oubli, je me sens obligé de te donner cela, c’est n’est pas pour ne pas être oublié, mais pour que mon histoire servent aux générations futures. Fut un temps le monde est resté calme, chacun vivant au grès du temps allant aux champs, bricolant par-ci, par-là, c’était l’ancienne époque, L’âge d’or de notre civilisation. Astrub, Bonta et Sufokia sont les chefs d’œuvres artistiques restant aujourd’hui de ces temps anciens. Avec la venue de Brakmar le monde est redevenu instable, il viendra un jour ou il vous faudra à nouveau combattre mais je veux que vous sachiez que même dans les situations désespérées il peut encore y avoir de l’espoir.


La silhouette pris une grande inspiration avant d’écrire les lignes suivante.

Comme tu le sais aujourd’hui nous vivons à Astrub, Mais ce ne fut pas toujours le cas bien avant, ton grand-père détesté plus que tout cette ville il la nommé « L’ignominie paysanne ».

Il faut bien avouer qu’à son époque la ville d’Astrub était réputée pour être la ville paysanne par excellence, tu pouvais y trouver toutes sortes de céréale et de graine. Mais c’était bien avant les sécheresses de 356, elles furent si importante que tout les champs avait brulé, la terre était tellement brulée que plus rien ne pouvait y pousser. Les gens se mirent alors en routes pour Bonta et ses plaines environnantes qui, elle, étaient propice à la culture. C’est ainsi qu’Astrub perdit son titre de ville paysanne. Aujourd’hui les temps on bien changé, tu sais aussi bien que moi que la plus part des champs sur Amakna se trouvent dans les plaines de Cania, non loin de Bonta. Pourtant Astrub tente depuis de nombreuses années de relancer l’agriculture dans sa zone, avec le temps la terre est de nouveau recouverte d’herbe, les arbres ont repoussé, et l’endroit est redevenu propice à la plantation de céréale. Voilà plusieurs années que de courageux paysan viennent planter et récolter ce qu’ils ont semé, bien que le rendement de leurs champs n’égale en rien ceux de Bonta, ils arrivent tout de même à les vendre au marché ce qui leurs permet tout simplement de vivre. Ton grand père n’était pas du tout de ces gens, lui préféré côtoyer la haute société, hors de question pour lui d’échanger des politesses avec les gens du peuple. Ce vieil Enutrof n’avait que pour seule et unique objectif : Accumuler les kamas. Et pour cela je dois avouer que j’ai toujours envié mon père, il pouvait soutirer des sous à n’importe qui. Il n’est pas spécialement téméraire mais avec quelques kamas, il devenait plus courageux. Si aujourd’hui nous vivons dans le luxe, c’est bien grâce à lui, à sa mort l’héritage était si conséquent qu’il pouvait mettre une dizaine de génération à l’abri. Je ne pensais pas un jour le dire, mais il me manque, ses réflexions, ses grimaces et grognements. Tu étais très jeune lorsqu’il nous a quitté tu ne dois pas en avoir beaucoup de souvenir. Tiens je te recommande d’aller chez ta tante Edenya, demande lui si il peut te montrer ton grand père, car aujourd’hui c’est elle qui vit dans sa maison, car ton grand-père était non seulement amoureux des kamas mais aussi de sa propre personne !

Mais attention, c’était une personne très respectée, au-delà des apparences c’était un valeureux (contre quelques kamas) guerrier, aussi avait il participé à la défaite des premier trools, meulous ou squelettes venues s’installer dans les environs de Bonta, terrorisant femmes et enfants, tuant gratuitement.


Ce ne fut pas une période très propice pour le commerce sur route, ce qui eu pour conséquence de développer fortement le commerce maritime et d’offrir à Bonta la joie d’annoncé la découverte d’un nouveau continent : Pandala. Ton grand-père participa à cette découverte en tant que capitaine du navire, car vois tu ton grand père était issus d’une grande famille de pécheur qui vivait sur la cote de Madrestam, son père l’emmené souvent avec lui en mer, l’une des plus déchainées par mauvais temps, ainsi il acquit l’expérience pour piloter un bateau, l’eau n’avait aucun secret pour lui, très vite et comme tout bon Enutrof il se lassa de cette tache ingrate à ses yeux : être matelot. Lui, rêvait de pouvoir, de donner les ordres et non de les subir, alors dès qu’il entendit qu’une expédition vers l’est allée être menée et que la capitainerie du port recherchée un capitaine pour menée à bien cette mission, il accourut et décrocha le poste au détriment des nombreux autres postulant qui la tête basse repartaient à leurs métiers de façon nonchalante. Beaucoup de citoyen souhaitaient entré dans la marine de Bonta, mais les places étaient chères, tu avais plus de chances d’entrer dans la milice, car peu de combat avaient lieu sur l’eau, pour ainsi dire, sur cette période, aucun combat ne se déroulaient sur les eaux.

Pandala est une ile somptueuse, ses habitants sont de fin amateur de bière, ils sont également de fier guerrier, mais bien que chaleureux ils eurent du mal à supporter la présence d’étranger, leurs ile est sacrée pour eux, comprends tu ? Et eux, de Bonta, arrivèrent par bateaux, d’abord un premier, puis deux, puis trois et ainsi de suite, ils troublèrent leur tranquillité et la cohabitions se fit beaucoup plus rude. Si bien que quatre clans se formèrent, quatre villages : Pandala Feu, Eau, Air, Terre.

D’autres étant plutôt d’avis neutre décidèrent de ce mettre à part. Du coup tout le monde tenta de soudoyer les différents villages afin d’exploiter les richesses que les pandas avait prit soins d’enfermer dans leurs villes ainsi à Pandala eau on pouvait trouver comme seule richesse du riz, coté Pandala feu c’était non pas une mais trois richesses : Silicate, Dolomite et Bambou sombre. A Pandala terre c’était principalement les graines de Pandouille qui faisait fonctionner l’économie et enfin Pandala air n’avait pour ainsi dire que du bambou sombre à offrir aux bucherons, elle possédait tout de même un arbre unique en son genre : un bambou sacrée.

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